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Au Japon, des psychiatres viennent en aide aux étrangers

Au Japon, des psychiatres viennent en aide aux étrangersSi certains Japonais ont été traumatisés par la catastrophe du 11 mars, cela peut aussi être le cas d'étrangers. Pour ceux-ci, il peut être utile de connaître l'association japonaise de psychiatrie internationale, spécialisée dans l'aide psychologique aux étrangers.
 





Les personnes résidant dans un pays étranger présentent des risques de troubles psychologiques liés à l'immersion dans une autre culture.
 
C'est à partir de ce constat qu'a été créé, il y a 13 ans, l'association japonaise de psychiatrie internationale. Le but : aider les étrangers du Japon et les Japonais résidant à l'étranger à gérer leur situation.
 

"Ce sont des groupes à risque, estime Fumitaka Noda, le président de l'association, également enseignant de sa spécialité à l'université de Taicho, à Tokyo. Même en temps normal, il y a les différences culturelles et linguistiques qui peuvent causer des problèmes, mais ces personnes n'ont pas forcément de ressources pour les régler. C'est pourquoi nous avons décidé de les aider".


Après la catastrophe du 11 mars dernier, l'association a organisé un comité d'urgence pour venir en aide aux étrangers traumatisés par les événements.
 
Pour le moment, faute de médiatisation, l'association n'a pas reçu beaucoup d'appels, mais ceux-ci commencent à se multiplier depuis la parution d'un article dans le  Japan Times.
 
"Beaucoup d'étrangers ont quitté le Japon, note d'ailleurs Fumitaka Noda. Ils ne savaient pas comment faire face à la situation, et souffraient d'un manque d'information. Ceux qui sont restés peuvent se sentir un peu laissés pour compte, car les japonais doivent d'abord s'occuper de leurs problèmes".
 
Aujourd'hui, l'association japonaise de psychiatrie internationale fournit plusieurs services : d'abord, des informations en anglais sur le lieu d'habitation des personnes demandeuses, mais aussi des consultations, si besoin par téléphone ou par skype, en présence d'un interprète.
 
Vous pouvez rentrer en contact avec l'association japonaise de psychiatrie internationale par téléphone au (080) 5196-8325, ou par e-mail : transcultural_mental_health@yahoo.co.jp


Tags : japon, psychiatres, étranger, psychologique, aide
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#Posté le mardi 03 mai 2011 04:33

Manabé shima, la vie dans une petite île japonaise

Manabé shima, la vie dans une petite île japonaiseAprès avoir exploré Tokyo, Florent Chavouet est parti à la conquête d'une île petite et méconnue, et pourtant pleine de charme et a fait un nouveau carnet de voyage. Interview.
 





- Tout d'abord, quelle est votre formation? Et pourquoi être parti au Japon?
J'ai fait un BTS de design produit à Yzeure (Allier) et ensuite je suis allé en fac d'arts appliqués, où j'ai continué tant que j'avais des bourses : licence, maitrise, Master II.
 
Je m'intéresse au Japon depuis le lycée à peu près, mais vraiment savoir pourquoi. Je ne suis pas un dévoreur de mangas, ni un grand connaisseur de la littérature japonaise, mais un premier voyage en 2001 chez des amis à Kobe, m'a convaincu d'aimer ce pays.
 
Depuis, chaque voyage reste une découverte. Pour mon premier livre, Tokyo Sanpo, comme je le dis dans la préface, j'ai eu l'occasion de partir six mois là-bas, en suivant ma compagne de l'époque qui y faisait un stage.
 

- Qu'est-ce qui vous a poussé à aller à Manabé Shima après avoir dessiné Tokyo?
Le complet renversement de sujet. Je voulais dessiner et raconter l'exact opposé de Tokyo: c'est-à-dire un lieu clos, petit et définitivement rural. Le choix d'aller sur une petite île est donc devenu rapidement une évidence.
 
C'est également une synthèse géographique très réduite du pays tout entier. Une colline avec les pieds dans l'eau. Et puis d'une manière générale je suis plus attiré par la campagne japonaise que par la ville.
 
- Aviez-vous une idée en tête avant d'arriver là bas ou vous êtes vous laissé porter par le courant?
Je suis arrivé là-bas avec la même démarche en tête que celle qui m'avait animé quand j'étais à Tokyo. A la différence notable, que cette fois-ci, je savais que j'allais faire un livre, puisque j'avais signé un contrat avec mon éditeur ( Philippe Picquier) avant de partir.
 
Ensuite j'ai procédé comme pour mon premier livre : je me suis laissé guider par les évènements et le décor. Par définition, je ne dessine que ce que je vois, et donc je ne savais pas vraiment ce que j'allais trouver en arrivant sur cette île.
 
- Comme pour Tokyo, n'avez-vous dessiné que ce que vous avez vu ou avec-vous eu d'autres supports (photos, films...)?
Oui, l'autre différence notable avec le premier livre, c'est que je n'ai pas pu tout faire sur place, faute de temps... J'ai donc terminé en France, d'après notes, croquis et photos.

Et puis certaines anecdotes étaient impossibles à dessiner in situ. Comme les histoires sur les bateaux par exemple.
 
- Pensez-vous continuer à explorer le Japon?
Explorer, oui bien sûr. C'est pour cela que ce pays est pour moi une éternelle découverte. Après, en faire à chaque fois un livre, c'est autre chose. En tout cas, je ne suis pas sûr de vouloir décliner le même dispositif indéfiniment. Mais j'ai toujours envie de dessiner le Japon.

- Quel message espérez-vous faire passer à travers vos croquis?

Que le lecteur en ait pour son argent! Plus sérieusement, j'aimerais que le lecteur passe autant de temps devant mes dessins que moi j'en ai mis à les faire. Et puis encore plus sérieusement, que le Japon, et le dépaysement, ce sont aussi beaucoup de détails.
 

- Avez-vous envie de croquer d'autres villes, îles, pays? Des projets en cours?
Comme je le dis précédemment, je pense que mon procédé peut vite s'épuiser et lasser les lecteurs. Et puis ce n'est peut-être pas forcément stimulant de s'installer dans un genre, sans chercher à prendre quelques risques, aller vers autre chose.
 
Cependant, l'idée de voyager dans plein de pays et d'autres villes, avec un certain confort de temps, c'est très tentant, bien entendu. Mais tout ne dépend pas de mes envies non plus (malheureusement !). Il y a d'abord les réalités éditoriales.
 
Par la suite, l'auteur, touché par les événements du 11 mars, a préféré rester discret sur le sujet. Il a une envie encore plus grande de montrer à quel point le Japon est un pays magnifique et explique qu'il ne faut pas se retenir d'y aller. Un de ses dessins sera mis en vente samedi 30 avril à la Galerie Artludik à Paris dans le cadre de la vente aux enchères de 51 dessins du collectif CFSL au profit des victimes du tsunami.


« Manabé Shima », de Florent Chavouet, Editions Philippe Picquier, 142 p., 23
 
Site de l'auteur : http://www.florentchavouet.com/home.htm



Tags : manabé, shima, interview, florent, chavouet, japon
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#Posté le samedi 30 avril 2011 07:46

La Golden Week commence au Japon

La Golden Week commence au JaponSept semaines après la tragédie du 11 mars, la Golden Week débute aujourd'hui. Quels sont les projets des Japonais pour cette semaine ?
 





La semaine de vacances la plus attendue commence en ce 29 avril. C'est normalement le moment où les Nippons en profitent pour partir en voyage, mais il semblerait que cette année, le volontariat soit de mise.
 
Pas de grand départ
Les agences de voyages le constatent, peu de personnes souhaitent partir en vacances en ce moment. Il y a presque deux mois, le Japon a été frappé par le pire séisme de son histoire, et les Japonais ne sont clairement pas d'humeur à célébrer leurs vacances.
 
Selon le Mainichi Daily News, les agences de voyages s'attendent à avoir une baisse de 28% du nombre de voyageurs comparé à l'année dernière à la même période. « L'avenir semblait incertain » explique, à Bloomberg, une femme qui avait réservé, puis annulé, des billets pour Hawaï quelques heures avant le tsunami.
 

Pour Dave Erdman, le directeur de PacRim Marketing Group, des sites internet en japonais pour des hôtels à Hawaï, « les réservations ont énormément baissé juste après le séisme. Nous avons littéralement perdu un mois complet de réservations ».


40% des personnes interrogées lors du sondage du JTB (Japan Travel Bureau) ont expliqué qu'elles ne bougeraient pas de chez elles par peur de complications au niveau des voyages. 27% expriment « ne pas pouvoir s'amuser » de toute façon, selon le  Wall Street Journal.
 
Aider son prochain
En revanche, un vent d'altruisme souffle sur le Japon. Plutôt que de prendre des vacances pour soi, les Nippons ont décidé de se relever les manches et attaquer le c½ur du problème, la dévastation de leur nation.
 
Ce qui part d'une bonne intention cause pourtant quelques soucis logistiques. Certaines villes ont expliqué qu'il était très difficile et compliqué de loger tous les volontaires arrivés en masse dans le nord du Japon.
 
Un centre de volontaires à Kesennuma, dans la préfecture de Miyagi, a expliqué au Wall Street Journal qu'il s'attendait à accueillir plus de 600 personnes par jour, soit trois fois plus qu'en temps normal.
 
A Tokyo, le Centre d'action volontaire a vu ses 200 postes pourvus en moins d'une heure, dès le 20 avril. Ils ont été donnés avant tout à des personnes qui ont de l'expérience du terrain. La Golden Week s'annonce donc riche en volontariat, nouvelle preuve du courage et de l'altruisme des Japonais.


Tags : golden, week, début, japon
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#Posté le vendredi 29 avril 2011 08:12

Au Japon, une employée de Tepco irradiée

Au Japon, une employée de Tepco irradiéeMalgré les efforts déployés pour protéger les travailleurs de Fukushima, il semblerait que cela n'ait pas été suffisant pour empêcher une femme d'être trop irradiée.
 





Alors que les femmes ont évacué la centrale de Fukushima Daiichi le 23 mars, soit une dizaine de jours seulement après la première explosion, l'une d'entre elle se révèle avoir été beaucoup trop exposée aux radiations, par rapport au taux normalement autorisé.
 
Une femme en danger ?
Tokyo Electric Power (Tepco), déjà au plus bas de sa popularité, vient de révéler mercredi qu'une des 19 employées a subi un taux de radiations de 17,55 millisieverts, entre le moment de l'explosion et le 23 mars.
 
Ce taux est bien plus élevé que celui du seuil, fixé à 5 millisieverts pour les femmes, sur une période de trois mois. Lors d'une conférence de presse, un officiel de Tepco a déclaré que « l'incident est de notre faute et nous en sommes désolés ».
 
La femme, âgée de plus de cinquante ans, ne présente cependant pas de problèmes de santé pour l'instant. L'Agence de sûreté nucléaire craint cependant que deux autres femmes n'aient elles-aussi dépassé les limites autorisées, selon le Japan Times.
 
Sur le site de la centrale, l'employée irradiée était chargée de faire le plein d'essence pour les camions, et lorsqu'elle devait entrer dans la centrale, elle portait un masque pour limiter son exposition. Il est possible qu'elle ait inhalé des matériaux radioactifs en mettant ou enlevant son masque.
 

Tepco sous pression
Selon les lois nippones, les hommes ne peuvent être exposés à plus de 100 millisieverts sur une durée de cinq ans ou plus de 50 sur une année. Pour les femmes, l'indice est bien inférieur car un fort niveau de radiation est nocif pour les bébés et augmente les risques de stérilité, selon le Mainichi Daily News.
 
Hidehiko Nishiyama, de l'Agence japonaise de sûreté nucléaire, a déclaré à la presse que « c'est extrêmement regrettable. Nous allons enquêter et voir pourquoi et comment cela a pu arriver ».
 
Le gouvernement pointe également Tepco du doigt. Lors d'une conférence de presse, Goshi Hosono, le conseiller spécial du Premier ministre Naoto Kan, a déclaré que « la préparation de Tepco face au tsunami et à la perte d'électricité devra faire l'objet d'une enquête. Son résultat devra être acceptable pour la communauté internationale ».
 
Sur le site de la centrale se trouvent pour le moment 700 employés, seulement des hommes puisque les femmes ont été évacuées du site. Chaque travailleur enchaine quatre jours sur le site du réacteur numéro 1, suivis de deux jours de repos. Ils sont chaque jour décontaminés avant de rejoindre le camp où ils résident, situé à 10 km, près du réacteur numéro 2.


Tags : employée, tepco, irradiée, japon
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#Posté le jeudi 28 avril 2011 04:56

Après le tsunami, les Japonais craignent une vague de suicides

Après le tsunami, les Japonais craignent une vague de suicidesAprès la catastrophe du 11 mars, une inquiétude vis-à-vis de l'augmentation du nombre de suicides nait au sein de l'archipel nippon.
 





Avant le séisme et le tsunami, le Japon était déjà parmi les pays comptant le plus grand nombre de suicides au monde. Dans le sillage des catastrophes, certains Nippons se demandent comment survivre et surmonter l'épreuve sans céder à la tentation de mettre fin à ses jours.
 

Traumatisme des catastrophes
C'est évidemment dans la zone la plus sinistrée, dans le nord-est du Japon, que les préoccupations autour de cet acte se manifestent davantage. Et le débat a été relancé il y a dix jours lorsqu'un centenaire s'est donné la mort car il était « déprimé de devoir quitter sa maison » selon le  New York Post.
 
Plusieurs cas de suicides ont déjà été rapportés près de la centrale nucléaire de Fukushima. Un fermier s'est pendu car il craignait que ses champs de choux ne soient irradiés par les retombées radioactives selon le Los Angeles Times. Ou encore, un père s'est donné la mort car il ne retrouvait pas son enfant dans les décombres.
 
Le mouvement s'inverse ?
Mais il y a deux écoles au Japon en ce moment. Il y a ceux qui craignent une vague de suicides quasi inévitable, et d'autres qui pensent qu'au contraire, les événements du 11 mars pourraient avoir l'effet opposé.
 
Pour le moment, aucun suicide au niveau des membres du gouvernement n'a été déclaré alors qu'il s'agit dans certains cas d'une manière pour eux d'assumer leurs responsabilités.
 
Par ailleurs, des hikikomori, ces jeunes qui restent cloitrés chez eux par peur d'interactions sociales, se sont manifestés afin d'apporter de l'aide aux victimes nipponnes selon Foxnews.
 
Rien de nouveau
Plus de 30.000 Japonais se donnent la mort chaque année, des hommes dans plus des deux-tiers des cas, et le Japon a l'un des taux de suicide les plus élevés au monde. Il y aurait donc un suicide toutes les quinze minutes au Japon.
 
Traditionnellement, le suicide au Japon n'est pas perçu comme un mal de l'âme, comme dans les pays occidentaux, où l'ont a tendance à expliquer ce geste par une maladie mentale – ou génétique – quand on la considère pas comme un pêché.
 
Le concept nippon du suicide se rattache plutôt à une vision médiévale du code d'honneur, le Bushido. Les samurais, pour expier leur âme, se donnaient la mort en se faisant hara-kiri, préservant ainsi leur fierté et l'honneur de leur famille.
 
Depuis quelques années, beaucoup de suicides ont lieu près du Mont Fuji, dans la 'mer d'arbres'. C'est peut-être pour ajouter une touche romantique ou suivre « Le manuel complet du suicide », paru en 1993, qui conseille de s'y donner la mort car les corps y disparaissent, explique Chad Daniel à CBN News.
 
Il s'agit de ne pas tirer de conclusions hâtives concernant les cas de suicides au Japon post-11 mars. Mais il est possible d'espérer qu'un sentiment de collectivité prendra le dessus contre une envie de mettre fin à ses jours.
 
Depuis le séisme, on a vu le Japon et son peuple rester calme, et on ne peut douter de la résilience du Pays du soleil levant.


Tags : japon, suicides, tsunami, traumatisme, catastrophe, séisme
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#Posté le lundi 25 avril 2011 04:53

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